Groupe : Emilie, Mathilde, Fred Maffre, Sandrine, Hervé, Bernard, JP, Damien (CRES)
TPST : 2h
Une grotte sans matos, qui rappelle l’ambiance Gironde, mais avec un peu plus de concrétionnement, de hauteur et de largeur. L’argile dite « fluide » nous rend tout discret dans la grotte.
Pas de difficultés : des passages rampants alternants avec des méandres de bonnes dimensions suivants les belles concrétions au plafond.
Tout cela pour arriver à une marre d’argile très fluide qui invite à de petits jeux avant de tomber sur une voute mouillante. Au vu des consignes, nous ne l’avons pas passé alors que nous aurions pu. On aurait pu ressortir tout propre, de l’autre côté, surtout qu’il y avait un beau puits artificiel équipé qui permet de shunter.
Elle rappelle un peu La Croze pour l’ambiance boueuse de la fin.
Lieu : Scialet du Michellier, Vassieux en Vercors (Drôme, 26)
Groupe : Dom (auteur CR) et 4 personnes d’un groupe spéléo de la région parisienne
TPST : 4h
Nous sommes 5 à nous engager dans une buse au milieu d’un champ ; 3 m plus bas nous débouchons dans une petite galerie qui nous mène rapidement à un P17, suivis par un P9, un P4 et un beau P31.
Au fond, nous arrivons à une belle galerie avec de belles traces de sous-tirage impressionnantes ; nous ne faisons malheureusement pas la galerie Sophie qui se trouve derrière une remontée d’une petite dizaine de mètres et qui est, parait-il, très concrétionnée. TPST 4h, les puits n’étant pas toujours faciles à équiper.
Lieu : Gouffre Lonné Peyret, La Pierre-Saint-Martin (64)
Groupe : Rémi, Laurent (auteur CR), Manu
TPST : 17h
Objectif : aller au fond
Entrée à 10h et sortie à 3h le dimanche, sans dormir ni jouer aux cartes, non non !
Une équipe de l'ARSIP (Régis et... je ne me rappelle plus le nom des 2 autres) a fini d'installer les cordes des puits jusqu'à -400m devant nous le matin-même: équipement magnifique! Nous étions donc "légers" avec quasiment pas de cordes, les néoprènes et la bouffe: naïfs que nous étions, nous nous attendions donc à une sortie les doigts dans le nez.
Après quelques crapahutages et puits, nous nous arrêtons à l'Embarcadère pour manger et mettre les néoprènes. La salle du fond (Styx) est estimée à 1h30, nous avons le temps de faire l'aller-retour pour le repas suivant.
Le début de la rivière est très beau, avec des belles courbures de galerie et une eau cristalline. Puis des chaos de plus en plus longs s'enchainent entre les passages aquatiques. L'eau glaciale n'est même plus gênante vu le crapahutage à faire dans les chaos qui nous réchauffe. Résultat: nous avons mis 3h30 pour attendre l'immense salle Styx! Je me balade quand même un peu dans la salle pour aller jusqu'à apercevoir le mur du fond.
Puis le retour commence, et devient looooooooong! Le crapahutage pendant des heures en néoprène, ça crève! Je n'avais pas pris de nourriture depuis l'Embarcadère, Rémi me dépanne d'une barre de céréales car je n'ai plus de jus. On essaie de prendre plus de passages dans l'eau et moins dans les blocs pour moins se fatiguer. Le repas à l'Embarcadère fait un bien fou!
J'ai finalement trouvé la remontée sur cordes plus facile que les heures dans les blocs en néoprène, mais Manu tirait bien la langue quand même à la sortie ;-)
Nous n'avons pas eu de mal à nous endormir, même à trois tassés tête-bêche dans le camion de Manu!
Groupe : Rémi Bertrand, Emilie Perret, Mathilde Miquéou, Laurent Dupoux
TPST : 8h
Nous rejoignons Amalgame chez Madeleine pour une hivernale à la Pierre.
Samedi
Après un détour par Arrête pour contourner le col du Soudet, nous chaussons nos raquettes direction Xendako Ziloa.
Notre mission du jour, aller chercher des kits de matos par delà les vestiaires dans la voie classique.